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La réconciliation dans l’industrie canadienne du transport maritime (II)
Quels sont les efforts déployés par l’industrie du transport maritime pour contribuer au processus de réconciliation?
Quels sont les efforts déployés par l’industrie du transport maritime pour contribuer au processus de réconciliation?
Pourquoi des conteneurs maritimes sont-ils perdus en mer et où aboutissent-ils?
Comment la pollution atmosphérique due au transport maritime accélère-t-elle le changement climatique dans l’Arctique et comment y remédier?
Le transport de pétrole par navire n’est pas étranger à la controverse. Cet enjeu va certainement s’intensifier alors que le projet d’expansion de l’oléoduc de Trans Mountain (TMX) est en voie d’être achevé à la fin de 2022 et de voir ses trois postes d’amarrage pleinement opérationnels en 2023, plaçant les risques potentiels de l’augmentation du trafic de pétroliers sur les écosystèmes côtiers sous les feux de la rampe.
Reconnaître l’histoire, le patrimoine et la diversité des Premières Nations, des Inuits et des Métis et l’importance de leurs voix.
Avec plus de 27 000 km de côtes qui s’étendent de l’Alaska à l’État de Washington, la région canadienne du Pacifique abrite un écosystème marin riche et dynamique. Des milliers de créatures habitent ces eaux, des espèces microscopiques aux grands mammifères marins fascinants. Parmi eux, les très intelligents et emblématiques épaulards (orques), aussi surnommés baleines tueuses.
La baleine noire de l’Atlantique Nord, qui vit et chasse dans les eaux canadiennes, est l’une des espèces de grandes baleines les plus menacées au monde.
Avec la croissance constante des échanges internationaux et de la demande mondiale pour les produits canadiens, le besoin de postes d’ancrage pour les navires s’est lui aussi accru. Or, ces zones situées à l’extérieur des ports où les navires attendent avant de charger ou de décharger leur cargaison ont des incidences sur les régions côtières, l’environnement et les activités traditionnelles des communautés autochtones.
La Station de recherche en acoustique marine (MARS) mesure la signature sonore des navires qui transitent sur le fleuve Saint-Laurent afin d’aider à atténuer les bruits sous-marins et leurs incidences sur les mammifères marins.
Les changements climatiques entraînent la prolifération des glaces de mer et, conséquemment, l’augmentation des risques pour le transport maritime commercial.